Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de madame la députée Jeanine Dubié
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de monsieur le député Olivier Falorni
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean Lassalle
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel
Photo de monsieur le député Benoit Simian

À l’alinéa 4, substituer aux mots : 

« se situent en-deçà d’un niveau »

les mots : 

« sont inférieurs au taux maximal ».

Exposé sommaire

Actuellement, l’index d’égalité professionnelle prend la forme d’une note sur 100 points, calculée à partir de 4 ou 5 critères définis par décret. Si le score des entreprises est inférieur à 75 points, celles-ci doivent mettre en place des mesures correctives sous peine de sanctions financières. 

Or nous constatons que selon la manière dont sont formulés les critères, il peut être aisé d’accéder aux 75 points requis, sans constater une réelle égalité professionnelle. Surtout, il n’est pas souhaitable que, sous prétexte d’être arrivées aux 75 points, certaines entreprises ne poursuivent pas leurs efforts. 

Aussi, cet amendement prévoit que la publication des objectifs de progression et des mesures de correction retenues, telle que prévue par l’article 6, soit obligatoire pour toutes les entreprises dont l’index est inférieur à 100. Ce faisant, nous n’appliquons pas de sanction financière, en la maintenant pour les scores inférieurs à 75, mais nous incitons tout de même les entreprises à poursuivre leurs efforts, y compris lorsqu’elles atteignent le score de 75 points.