Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Bernard Brochand
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Didier Quentin
Photo de monsieur le député Philippe Meyer
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Michèle Tabarot
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Thibault Bazin

À la seconde phrase de l’alinéa 7, après le mot :

« à »,

insérer les mots :

« la persistance des conditions prévues à l’article L. 228‑1 ou ». 

Exposé sommaire

L’article 3 instaure une dérogation à la durée maximale des mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance en portant cette durée maximale cumulée à vingt‑quatre mois.

Ce renouvellement est subordonné à l’existence d’éléments nouveaux ou complémentaires.

Or, l’exigence d’éléments nouveaux ou complémentaires peut s’avérer excessif au regard des enjeux en cause.

Le présent amendement propose par conséquent que ce renouvellement jusqu’à 24 mois puisse avoir également avoir lieu lorsque les éléments ayant justifié la mise en place de ces MICAS persistent.