Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Jean-Louis Thiériot
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Yves Hemedinger
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Gérard Menuel

 L’article L. 441‑3 du code de commerce est ainsi modifié :

« 1° À la première phrase du IV, le mot : « mars » est remplacé par le mot : « février » ;

« 2° Au V, le mot : « mars » est remplacé par le mot : « février ». »

Exposé sommaire

Les délais enserrant la négociation des conventions prévues à l’article L. 441‑3 et 4 du code de commerce s’avèrent en pratique beaucoup trop longs, entre la date d’envoi des conditions générales de vente, fixe au 1er décembre au plus tard, et la date butoir de signature de ladite convention au plus tard le 1er mars.

Cet amendement vise à raccourcir cette période de trois à deux mois en fixant la date butoir au 31 janvier au plus tard, ce qui permettrait à la convention unique de s’appliquer sur une base plus proche de l’année civile. Le maintien d’une date butoir commune est essentiel, car il empêche que la négociation soit permanente et facilite les contrôles par l’administration. Conserver une date butoir permet de pouvoir objectiver le résultat des négociations via l’observatoire annuel des négociations commerciales.