Fabrication de la liasse
Non soutenu
(mercredi 7 juillet 2021)
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Xavier Breton

À l’alinéa 4, substituer aux mots :

« à intervalles de temps réguliers »

les mots :

« deux fois par an ».

Exposé sommaire

Les enfants pris en charge par l’État doivent être protégés des prédateurs, qui peuvent malheureusement sévir dans les établissements qui les accueillent.

L’article de ce projet de loi constitue une avancée notable, en étendant l’interdiction d’exploiter, de diriger, d’exercer des fonctions ou d’intervenir dans un établissement qui accueille des mineurs  à toute personne présentant des antécédents judiciaires graves (bulletin n° 2 du casier judiciaire et FIJAIS), quels que soient leurs missions ou leur statut.

Toutefois, une imprécision subsiste, renvoyée à un décret en Conseil d’État, sur la temporalité des réexamens en cours d’emploi de ces antécédents judiciaires graves.

Ainsi, afin de s’assurer de la pleine efficacité de cet article et de protéger au mieux les enfants, le présent amendement vise donc à introduire deux vérifications annuelles des antécédents judiciaires graves.