Fabrication de la liasse
Rejeté
(lundi 22 novembre 2021)
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de monsieur le député Éric Coquerel

Compléter l’alinéa 33 par la phrase suivante :

« Dans l’attente d’une loi mettant fin aux pratiques de contention en psychiatrie, le présent article est valable un an à compter de sa publication. »

Exposé sommaire

« L’isolement et la contention sont la pire atteinte à la liberté individuelle ! » Ces mots sont ceux de Dominique Simonnot, Contrôleure générale des lieux de privation de liberté. Face à l’inflation des pratiques de contention, cet article est un pis-aller.
Par cet amendement nous proposons qu’il ne soit applicable que sur une période d’un an, à compter de la promulgation de la loi, afin qu’il soit permis dans les 12 mois de son application la mise en débat d’une véritable loi pour rebâtir la santé mentale au XXIème siècle en préservant la dignité des patients et en redonnant la fierté aux soignants. Dès lors qu’une loi à part entière sera discutée, cette mesure temporaire encadrant la contention n’aura plus lieu d’être.