Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Compléter l’alinéa 3 par la phrase suivante :

« Elle prend en compte la nécessité d’intégrer une formation à supporter de mal faire son métier pour les futurs diplômés en maïeutique. »

Exposé sommaire

À cause de l'absence de révision des décrets de 1998, les sages-femmes sont contraintes à travailler en sous-effectif. Ce sous-amendement d'appel alerte sur cette situation en proposant de les former à cette réalité.


« Je lui ai menti. Elle était à 3 cm, prête pour la salle, mais je lui ai dit marchez encore une heure après ce sera bon, car j'avais encore 4 dossiers en retard ».


Entre 1998 et aujourd'hui, du fait de la volonté de moins médicaliser les accouchements, de mieux faire, pour la santé des femmes, la durée d'un accouchement a augmenté d’un quart.
Entre 1998 et aujourd'hui, alors que les accouchements prennent davantage de temps, les effectifs de sages-femmes n'ont pas augmenté proportionnellement.


Ainsi, les sages-femmes se retrouvent quasi-systématiquement en sous-effectif et dans l'impossibilité de faire correctement leur travail.