Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de monsieur le député Jean-Claude Leclabart
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de monsieur le député Hervé Pellois
Photo de monsieur le député Stéphane Travert
Photo de monsieur le député Bertrand Bouyx
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de monsieur le député François Cormier-Bouligeon
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier

I. – À l’alinéa 2, substituer aux mots :

« du trait de côte »

les mots :

« de la dynamique littorale ».

II. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 3.

III. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 4.

IV. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 5.

V. – En conséquence, procéder à la même substitution aux deux occurrences des mêmes mots à l’alinéa 6.

VI. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 7.

Exposé sommaire

En France, plus de 20 000 km de littoral français, dont 22 % des zones côtières, sont soumises à un phénomène d’érosion. On compte plus de 650 km en recul, dont 270 km à une vitesse moyenne de 50 cm par an.

Or, trop souvent, lorsque l’on traite de ce sujet, y est associé un vocabulaire que l’on peut qualifier de « guerrier » avec les mots suivants : défense ou lutte contre la mer, repli stratégique, etc… avec son corollaire d’angoisse devant la défaite inéluctable. Ils revêtent, par essence, un caractère anxiogène peu propice à la mise en œuvre d’une politique publique ambitieuse d’aménagement du littoral, pour inventer une nouvelle urbanité côtière capable de susciter l’adhésion.

Par ailleurs, l’expression « recul du trait de côte » possède un caractère réducteur par rapport à la dynamique littorale puisqu’ainsi on ne parle que de l’effet, pas de la cause. Dans ces conditions, le présent amendement propose de retenir désormais le terme de dynamique littorale, terme plus en phase avec les projets de territoire qui traduiront la politique d’aménagement littorale visée par cet article.