Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Marie-Pierre Rixain
Photo de madame la députée Laëtitia Romeiro Dias
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Erwan Balanant
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Nadia Hai
Photo de madame la députée Cécile Muschotti
Photo de monsieur le député Mickaël Nogal
Photo de monsieur le député Guillaume Chiche
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Isabelle Florennes

Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant :

« Lorsque la plainte adressée par voie électronique porte sur des faits de violences sexistes ou sexuelles et selon des modalités prévues par décret, la victime est immédiatement destinataire d’informations sur les possibilités de prise en charge psychologique et médicale. »

Exposé sommaire

Ce dispositif de plainte en ligne permettra sans aucun doute d’offrir aux victimes de violences sexistes et sexuelles un espace d’expression rendant ainsi plus facile la démarche du dépôt de plainte.

Ces violences ont toutefois des conséquences spécifiques et doivent faire l’objet de messages d’avertissement adaptés à destination des victimes qui déposent plainte de manière électronique.

Doivent ainsi être transmis les numéros d’écoute, d’information et d’orientation ou encore les adresses de lieu d’accueil des femmes victimes de violences et des acteurs locaux susceptibles de leur fournir une assistance matérielle et psychologique. Par ailleurs, lorsqu’une agression sexuelle vient d’avoir lieu, la victime doit immédiatement être alertée sur sur la nécessité de procéder à des constatations et à des prélèvements auprès d’une unité de médecine légale.