Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras

À la seconde phrase de l’alinéa 3, après le mot :

« nationales »,

insérer les mots :

« et à la validation d’un stage en médecine générale d’une durée de trois mois ».

Exposé sommaire

Les internes de Médecine Générale effectuent au moins deux stages de six mois chez des médecins généralistes dans leur cursus. Chacun de ces stages est l’occasion de permettre aux étudiants de découvrir différents territoires et différents exercices et ainsi, de commencer à mûrir un projet d’installation.

Pour renforcer l’intérêt pour la médecine générale et lutter contre la désertification médicale, il est nécessaire de développer des stages en Médecine générale dès le deuxième cycle des études médicales. L’attractivité de la profession pourra se renforcer par un accès généralisé à ces stages de deuxième cycle, ce qui n’est malheureusement pas acquis dans toutes les facultés malgré l’obligation règlementaire. Seuls 82 % des étudiants de deuxième cycle peuvent en effet y avoir accès.

C’est donc un étudiant sur cinq qui ne découvre pas la médecine générale et qui effectue l’intégralité de son externat en centre hospitalier.

Cet amendement propose de revaloriser la médecine générale en imposant un stage d’un mois en médecine générale pour la validation du second cycle. Il a pour avantages de faire découvrir la profession à l’étudiant tout en lui apportant une expérience utile.

L’intérêt de cet amendement est de lutter contre la désertification médicale en donnant envie aux étudiants de choisir la médecine générale et de s’installer, notamment en zones rurales.