- Texte visé : Projet de loi de finances pour 2022, n° 4482
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
I. – À la fin de l’alinéa 10, substituer au montant :
« 1 592 € »
le montant :
« 1 620 € ».
II. – En conséquence, à la fin de l’alinéa 11, substituer au montant :
« 3 756 € »
le montant :
« 3 807 € ».
III. – En conséquence, à la fin de l’alinéa 12, substituer au montant :
« 951 € »,
le montant :
« 967 € ».
IV. – En conséquence, à la fin de l’alinéa 13, substituer au montant :
« 1 587 € »
le montant :
« 1 620 € ».
V. – En conséquence, à la fin de l’alinéa 14, substituer au montant :
« 1 772 € »,
le montant :
« 1 798 € ».
VI. – Compléter cet article par l’alinéa suivant :
« III. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts. »
Le quotient familial est un élément fondamental de la politique familiale française. Alors que le besoin de solidarité est très fortement exprimé dans notre société, nos familles doivent être soutenues et le groupe démocrate souhaite s’engager résolument en la matière.
Le quotient familial n’est ni une niche fiscale, ni un avantage fiscal, mais bien une compensation partielle de charge d’enfants.
Plus encore, comme le souligne le Haut-Commissariat au Plan, la vitalité de la démographie est un élément clé pour préserver notre modèle social.
Le groupe démocrate propose donc une augmentation du plafond du quotient familial à 1620 € - avec une augmentation harmonisée des plafonds liés à ce quotient.
Ce relèvement du plafond permettra de rendre du pouvoir d’achat aux Français, notamment les ménages jeunes avec enfant.