Fabrication de la liasse
Tombé
(mercredi 1 mars 2023)
Photo de madame la députée Katiana Levavasseur
Photo de madame la députée Bénédicte Auzanot
Photo de monsieur le député José Beaurain
Photo de monsieur le député Victor Catteau
Photo de monsieur le député Christophe Bentz
Photo de madame la députée Sandrine Dogor-Such
Photo de monsieur le député Thierry Frappé
Photo de madame la députée Laure Lavalette
Photo de monsieur le député Serge Muller
Photo de madame la députée Joëlle Mélin
Photo de monsieur le député Emmanuel Taché de la Pagerie

À l’alinéa 1, après le mot :

« patiente »,

insérer les mots :

« et de son éventuel conjoint ».

Exposé sommaire

Les patientes qui vivent une interruption naturelle de grossesse sont, bien évidemment, les premières concernées par cette perte et il est nécessaire de les accompagner, si elles le souhaitent, dans cette épreuve.

Toutefois, il ne faut pas occulter la présence des proches, notamment du conjoint ou de la conjointe. Cette perte de la grossesse peut affecter, au delà de la femme qui la subit, l’entourage, qui lui également a pu se projeter dans la grossesse et peut avoir besoin, au même titre que la femme concernée, d’un accompagnement psychologique.

C’est pourquoi cet amendement entend inclure les conjoints dans cette démarche.