- Texte visé : Proposition de loi visant à favoriser l’accompagnement psychologique des femmes victimes de fausse couche, n° 747
- Stade de lecture : 1ère lecture (1ère assemblée saisie)
- Examiné par : Commission des affaires sociales
- Amendement parent : Amendement n°AS52
Arthur Delaporte
Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)
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Joël Aviragnet
Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)
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Jérôme Guedj
Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)
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Elie Califer
Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)
Lien vers sa fiche complèteAu cinquième alinéa, substituer aux mots :
« d’améliorer l’information et »
les mots :
« de systématiser l’information et d’améliorer ».
Ce sous-amendement du groupe Socialistes et apparentés vise à systématiser l’information des femmes par les professionnels de santé qui les accompagnent sur les conséquences des interruptions spontanées de grossesse.
Toute femme victime d’une interruption spontanée de grossesse doit être informée des éventuelles conséquences de sa fausses couches, des potentiels traitements et de la possibilité de se faire accompagner psychologiquement.
Ainsi par cet amendement il s’agit de systématiser l’information des femmes.
Dans ce sens, nous proposions, par exemple, que le médecin ou la sage-femme remette à la femme victime de fausse couche une liste de professionnels compétents pour l’accompagner psychologiquement.