Fabrication de la liasse

Amendement n°II-AE51

Déposé le samedi 19 octobre 2024
Discuté
Rejeté
(mercredi 23 octobre 2024)
Photo de madame la députée Laurence Robert-Dehault
Photo de monsieur le député Guillaume Bigot
Photo de monsieur le député Jorys Bovet
Photo de monsieur le député Jérôme Buisson
Photo de monsieur le député Sébastien Chenu
Photo de monsieur le député Marc de Fleurian
Photo de monsieur le député Nicolas Dragon
Photo de monsieur le député Michel Guiniot
Photo de madame la députée Marine Hamelet
Photo de monsieur le député Alexis Jolly
Photo de madame la députée Sylvie Josserand
Photo de madame la députée Marine Le Pen
Photo de madame la députée Alexandra Masson
Photo de monsieur le député Kévin Pfeffer
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud

Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :

(en euros)
Programmes+-
Action de la France en Europe et dans le monde00
Diplomatie culturelle et d'influence02 559 700
Français à l'étranger et affaires consulaires00
TOTAUX02 559 700
SOLDE-2 559 700
Exposé sommaire

Le présent amendement prévoit de minorer les crédits, d’un montant de 2 559 700 euros en autorisations d’engagement et en crédits de paiement, alloués aux Alliances françaises pour leur volet « culture » de la sous action 5 : « Coopération et diffusion culturelles » de l’action n° 02 : « Coopération culturelle et promotion du français » du programme 185 « Diplomatie culturelle et d’influence ».

Ce projet de loi de finances pour 2025 innove et opère une distinction explicite entre les volets « culturel » et « linguistique » de l’action des Alliances françaises. Ces Alliances françaises, fondées selon le droit associatif du pays d’implantation, sont autonomes et ne subissent qu’un faible contrôle de la part de la Fondation des Alliances françaises. 

Ce faible contrôle entraîne des dérives telles que l’organisation d’évènements culturels n’ayant aucun rapport avec la francophonie. Nos politiques diplomatiques, de rayonnement du français et de notre culture doivent faire l’objet d’un contrôle suffisant, d’autant plus lorsqu’elles sont financées par le contribuable français. En l’absence d’un tel contrôle cet amendement propose une mesure d’économie.