Cet amendement vise à éviter que les parties prenantes au Grenelle de l’environnement ne bénéficient d’un droit à être associées aux travaux, parfois très techniques ou totalement scientifiques, des instances publiques ayant un rôle d’expertise dans le domaine de l’environnement.

C’est plus simplement à une gouvernance concertée de tels organismes que les parties prenantes au Grenelle de l’environnement doivent être associées.