Fabrication de la liasse
Retiré
(vendredi 20 octobre 2017)
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Guillaume Larrivé
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Olivier Marleix
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député David Lorion
Photo de monsieur le député Jean-Charles Taugourdeau
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de madame la députée Marianne Dubois
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller

Compléter cet article par l’alinéa suivant :

« IX. – Avant le 30 avril 2017, le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur l’équité de l’impôt sur la fortune immobilière et sur l’opportunité d’y soumettre les biens mobiliers de luxe. Le cas échéant, le rapport peut émettre des propositions pour remédier aux problèmes soulevés. ».

Exposé sommaire

Le projet de budget 2018 prévoit de transformer l’ISF, qui touche aujourd’hui 351.000 foyers, en « impôt sur la fortune immobilière » (IFI), de façon à exempter de taxes les valeurs mobilières et les placements (actions, assurance-vie...).

L’objectif de ce rapport est d’étudier l’équité et la justice du nouvel impôt édicté par le Gouvernement.

Les biens « ostentatoires » échappent à cet impôt : les biens mobiliers de luxe, qui ne sont pas de l’immobilier mais n’en demeurent pas moins des signes extérieurs de richesses « improductifs » ne seront pas compris dans l’assiette de l’IFI. Les voitures de luxe, les lingots d’or, les chevaux de course ou les yachts, sont autant de biens qui jusque-là étaient soumis à l’ISF et ne le seront pas à l’IFI.

Ainsi le nouvel impôt envoie un signal qui favorise l’affichage ostentatoire de la richesse à l’épargne, certes moins productive et durable, mais qui représente parfois les économies d’une vie de travail.