Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Thibault Bazin

Chaque année, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la première installation professionnelle du jeune médecin afin d’actualiser annuellement les capacités d’accueil des établissements hospitaliers universitaires dispensant les formations.

Exposé sommaire

Le numerus clausus désigne le nombre de places disponibles en seconde année d’études médicales pour les quatre professions que sont la médecine ; la pharmacie, l’odontologie et la maïeutique.

Fixé par l’État, il a été mis en place pour la première fois en 1971 pour les études de médecine, afin de réguler de façon quantitative le nombre de médecins à former.

Son objectif initial était d’établir un nombre de places en adéquation avec les capacités d’accueil des établissements hospitaliers universitaires dispensant les formations.

Force est de constater qu’une actualisation de ce dispositif s’impose et ce au vu du phénomène de la sous médicalisation en zones rurales.