Fabrication de la liasse
Tombé
(mardi 20 février 2018)
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Guillaume Larrivé
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Sébastien Huyghe
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de madame la députée Nadia Ramassamy
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Jean-Luc Reitzer

L’article L. 111‑6‑1‑1 du code de la construction et de l’habitation est ainsi modifié :

1° Au deuxième alinéa, les mots : « , à défaut, » sont supprimés ;

2° Le troisième alinéa est ainsi modifié :

a) Les mots : « , à défaut, » sont supprimés ;

b) Le mot : « et » est remplacé par le mot : « ou » ;

c) Sont ajoutés les mots : « ou lorsque leur propriétaire est directement ou indirectement lié à une personne physique ou morale condamnée au titre de l’article 225‑14 du code pénal ou comme marchand de sommeil tel que défini à l’article 225‑14‑3 du même code. »

Exposé sommaire

À ce jour, les maires ne disposent de moyens suffisants pour bloquer les divisions pavillonnaires.
Cet article permet ainsi de renforcer les pouvoirs des élus locaux (maires ou présidents d’EPCI) en leur permettant de refuser de délivrer une autorisation préalable aux travaux à quiconque est directement ou indirectement lié à une personne physique ou morale condamnée comme marchand de sommeil ou au titre de l’article 225‑14 du code pénal.