Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Bernard Deflesselles
Photo de monsieur le député Sébastien Huyghe
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de madame la députée Nathalie Bassire

I. – L'article 1618 septies du code général des impôts est abrogé.

II. - Le présent article est applicable à compter du 1er janvier 2019.

III. – La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration des droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Exposé sommaire

Dans son rapport public annuel 2018, la cour des comptes juge injustifiée la taxe sur les farines. Elle estime son produit insuffisant et ses coûts de recouvrement trop élevés. Elle suggère sa suppression pure et simple.

Le présent amendement vise à mettre en œuvre cette recommandation, qui a toute sa place dans ce texte sur l’équilibre des relations entre les producteurs et les distributeurs. La première mesure de rééquilibrage entre la distribution et la production doit être, symboliquement, un allègement de charges, surtout lorsque celles-ci sont devenues absurdes et injustifiées. Une réflexion plus large doit être engagée quant à l’organisation de nos prélèvements sociaux et fiscaux, qui n’ont pas été fondamentalement revus et ne répondent plus aux enjeux d’aujourd’hui.