Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Laurence Vichnievsky
Photo de monsieur le député Philippe Latombe
Photo de monsieur le député Erwan Balanant
Photo de monsieur le député Vincent Bru
Photo de madame la députée Isabelle Florennes
Photo de madame la députée Élodie Jacquier-Laforge

À l’alinéa 33, substituer aux mots :

« révéler de bonne foi une faute, un acte répréhensible ou une activité illégale dans le but de protéger l’intérêt public général, y compris lors de l’exercice du »,

les mots :

« exercer le ».

Exposé sommaire

La directive renvoie, notamment dans ses considérants et les dérogations, à la complémentarité du droit de l'Union et du droit national. Or la France a arrêté en 2016, suite à deux années de travaux du Conseil d'Etat, du Parlement et en dialogue avec les organisations de la société civile, une définition du droit d'alerte claire et précise (article 6 de la loi dite Sapin 2), indissociable d'une architecture équilibrée fondant ce droit.

Il n'y donc pas lieu d'y substituer une définition ambigüe et moins précise, importée du droit anglo-saxon et reposant sur une autre philosophie et architecture.