Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de madame la députée Aude Amadou
Photo de monsieur le député Jean-François Cesarini
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de monsieur le député Olivier Gaillard
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Delphine O
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de monsieur le député Saïd Ahamada
Photo de madame la députée Sophie Beaudouin-Hubiere
Photo de madame la députée Pascale Boyer
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Annie Chapelier

Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant :

« IV bis. – Les dispositions prévues aux alinéas 13 à 16 de l’article 16 de la présente loi feront l’objet, dans un délai d’un an après son entrée en vigueur, d’une évaluation parlementaire et d’un nouvel examen par le Parlement. »

Exposé sommaire

L'augmentation de la durée de rétention maximale est une mesure privative de liberté importante pour les étrangers. Elle ne peut se justifier qu'au regard d'une efficacité de la loi en matière de reconduite à la frontière et d’éloignement.

Cet amendement propose donc que cette nouvelle mesure soit évaluée par le parlement et qu'elle fasse l'objet à la suite d'un réexamen au bout d’un an pour juger de son abrogation ou, au contraire, de son maintien.