Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de madame la députée Delphine O
Photo de madame la députée Nicole Trisse
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de monsieur le député Olivier Gaillard
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de madame la députée Aude Amadou
Photo de monsieur le député Jean-François Cesarini
Photo de madame la députée Yolaine de Courson
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Sandrine Mörch

Après le mot :

« recours » »,

supprimer la fin de l’alinéa 7.

 

Exposé sommaire

Une audience par des moyens de télécommunication peut dégrader la qualité de la défense de la personne intéressée. L’oralité, et la communication non-verbale, sont des composantes déterminantes dans l’appréciation d’un dossier et d’une situation.

Si accroître le recours à la vidéo-audience est nécessaire au bénéfice de certains délais ou pour le confort de certains demandeurs d’asile, cette procédure ne convient pas à tous les requérants et notamment à ceux qui ont besoin d’un contact humain pour délivrer un récit souvent douloureux. Il est donc nécessaire de toujours recueillir le consentement des personnes intéressées.