Fabrication de la liasse

Amendement n°CD128

Déposé le vendredi 13 avril 2018
Discuté
Retiré
(mardi 17 avril 2018)
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de madame la députée Sophie Beaudouin-Hubiere
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de monsieur le député Jean-François Cesarini
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Laurence Gayte
Photo de madame la députée Danièle Hérin
Photo de monsieur le député Jacques Krabal
Photo de monsieur le député Jean-Claude Leclabart
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de madame la députée Mireille Robert
Photo de monsieur le député Stéphane Testé

Après l’alinéa 23, insérer les deux alinéas suivants :

« De même, les seuils de surface de vente, mentionnés aux 1° et 2°, à la seconde phrase du 3° et aux 4° à 6° de l’article L. 752‑1, à partir desquels certains projets d’exploitation commerciale sont soumis à une autorisation sont ramenés à 400 mètres carrés dans les communes situées à moins de 20 kilomètres d’un secteur d’intervention d’une opération de revitalisation du territoire définie au I de l’article L. 303‑2 du code de la construction et de l’habitation.

« Le dossier de demande d’exploitation commerciale élaboré dans le cadre des dispositions de l’alinéa précédent doit également comprendre une note d’impact sur l’animation et la vitalité du secteur d’intervention. »

Exposé sommaire

Le présent amendement vise à s’assurer que les efforts sans précédent portés par le Gouvernement en faveur de la revitalisation des Cœurs de Ville ne soient pas localement annihilés par une initiative d’installation de commerce en périphérie.

Aussi, sans proclamer un quelconque moratoire ou interdiction de principe, il est proposé de soumettre à avis de la CDAC tout projet commercial de plus de 400 m2 situé à moins de 20 km d’un secteur d’intervention.

Il est également demandé au porteur de projet, au-delà des exigences déjà formulées par le Code du Commerce, de produire une note d’impact de son projet sur l’animation et la vitalité du secteur d’intervention.