Fabrication de la liasse
Non soutenu
(vendredi 18 mai 2018)
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Philippe Dunoyer
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Philippe Gomès
Photo de monsieur le député Maurice Leroy
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Francis Vercamer
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

I. – Supprimer la seconde phrase de l’alinéa 31.

II. – En conséquence, à la première phrase de l’alinéa 32, après le mot :

« maire »,

supprimer les mots :

*« ou, le cas échéant, le président de l’établissement public de coopération intercommunale ».

Exposé sommaire

L’astreinte versée suite à un arrêté de péril doit être versée par défaut au maire, et non au président de l’EPCI. En effet, c’est le maire qui peut, au plus près du terrain, repérer les situations d’habitat indigne et c’est la commune qui effectue le travail de surveillance et de contrôle. Il est donc logique que le produit des astreintes lui revienne.