Fabrication de la liasse
Adopté
(vendredi 20 avril 2018)
Photo de madame la députée Annie Chapelier
Photo de madame la députée Nadia Hai
Photo de madame la députée Marie-Pierre Rixain
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
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Photo de madame la députée Laurence Gayte
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Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine
Photo de madame la députée Cécile Muschotti

Compléter l’alinéa 8 par les mots :

« et de l’existence des structures à même de prendre en charge de façon spécifique les victimes de la traite des êtres humains ou les cas de graves violences physiques ou sexuelles. »

Exposé sommaire

Cet amendement, issu de la recommandation n° 2 de la Délégation aux droits des femmes, a pour objet de prévoir, dans le cadre du dispositif de relocalisation, la prise en compte systématique des cas de vulnérabilités extrêmes des demandeurs d’asile qui ont été ou sont soumis à de graves violences physiques ou sexuelles, notamment les cas de torture, de viols, de mutilation sexuelle féminine ou encore de traite des êtres humains. Les traumatismes induits par ce type de violences extrêmes impliquent en effet un accompagnement spécifique, notamment dans le domaine médical et social, dont il convient de s’assurer qu’il est accessible dans la région d’accueil des demandeurs d’asile concernés.