Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de madame la députée Delphine Bagarry
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de monsieur le député Brahim Hammouche
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Delphine O
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de monsieur le député Belkhir Belhaddad
Photo de madame la députée Brigitte Bourguignon

Compléter la quatrième phrase de l’alinéa 7 par les mots :

« ou faire valoir une erreur pouvant manifestement altérer sa compréhension des procédures. ».

Exposé sommaire

Aujourd’hui, près de la moitié des langues déclarées en Préfecture ne correspond pas à la réalité de la langue parlée par le demandeur d’asile. Ces erreurs sont notamment dues à la multiplicité des langues parlées et à la nécessité de recourir à des traducteurs experts pour identifier la langue avec laquelle le demandeur pourra le plus aisément s’exprimer.

Cet amendement propose de maintenir le principe d’opposabilité de la langue déclarée en préfecture, tout en créant une exception en cas d’erreur pouvant manifestement altérer la compréhension des procédures par le demandeur. Devant l’OFPRA, une erreur de choix dans la langue au stade de la préfecture pourra ainsi toujours être corrigée.