Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de monsieur le député Patrice Anato
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de madame la députée Émilie Cariou
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de monsieur le député Brahim Hammouche
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Delphine O
Photo de madame la députée Barbara Pompili
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de monsieur le député Belkhir Belhaddad

Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant :

« IV bis. – Les 2° et 3° de l’article 16 font l’objet, dans un délai d’un an après son entrée en vigueur, d’une évaluation parlementaire et peuvent faire l’objet d’un nouvel examen par le Parlement. »

Exposé sommaire

L’augmentation de la durée de rétention maximale est une mesure privative de liberté importante pour les étrangers. Elle ne peut se justifier qu’au regard d’une efficacité de la loi en matière de reconduite à la frontière et d’éloignement.

Cet amendement propose donc que cette nouvelle mesure soit évaluée par le parlement et qu’elle fasse l’objet à la suite d’un réexamen au bout d’un an pour juger de son abrogation ou, au contraire, de son maintien.