Fabrication de la liasse
Rejeté
(dimanche 22 avril 2018)
Photo de monsieur le député Guillaume Larrivé
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Olivier Marleix
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Guillaume Peltier
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Sébastien Huyghe
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de monsieur le député Marc Le Fur

L’article L. 411‑5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« 4° Le contingent annuel d’admissions au séjour au titre du regroupement familial, fixé par décret, a été atteint. La demande fait alors l’objet d’un nouvel examen l’année suivante. »

Exposé sommaire

Nous sommes favorables à la définition de plafonds permettant de réduire l’immigration vers la France.

Il est nécessaire, en particulier, de contingenter le regroupement familial.

La demande de regroupement familial doit pouvoir être refusée, par les autorités de la République française, lorsque le contingent annuel d’admissions au séjour au titre du regroupement familial a été atteint. La demande, si elle est maintenue, ferait alors l’objet d’un nouvel examen l’année suivante.

Naturellement, les stipulations conventionnelles qui s’opposeraient à cette décision de la France devraient être renégociées. De même, si une jurisprudence du Conseil constitutionnel venait contredire la volonté souveraine de l’Assemblée nationale, il conviendrait d’engager, sur ce point, une révision de la Constitution.