Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Lionel Causse
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Marc Delatte
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Émilie Guerel
Photo de monsieur le député Jean-François Portarrieu
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Sandra Marsaud
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de monsieur le député Patrice Perrot

Après le premier alinéa de l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Un indicateur supplémentaire peut y être associé pour préciser le degré de transformation d’un produit en prenant en compte le nombre d’étapes de transformation, la présence d’additifs et d’auxiliaires technologiques. Les modalités d’application de cet indicateur sont définies par décret du ministre chargé de la santé, de la consommation et de l’agroalimentaire, après avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à créer un indicateur en complément du nutriscore pour indiquer au consommateur le degré de transformation d’un produit.

En effet, le nutriscore qui indique principalement la teneur en graisse et en sucre d’un produit n’est pas suffisant pour permettre au consommateur de juger de la qualité d’un produit. Un produit très chimique peut obtenir un score maximal s’il a une faible teneur en graisse et en sucre. Les industriels se servent de ces failles pour promouvoir des produits que l’on ne pourrait qualifier de sains au vu de leur degré de transformation.