Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Paul Christophe
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Maurice Leroy
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier

I. – À l’alinéa 2, substituer aux mots :

« réduction de l’utilisation »,

les mots :

« promotion de solutions contribuant à la réduction ».

II. – En conséquence, à l’alinéa 4, après le mot :

« promouvoir »,

insérer les mots :

« des solutions contribuant à ».

Exposé sommaire

Faire évoluer les pratiques agricoles est complexe : les résultats enregistrés sur la baisse des phytopharmaceutiques montrent qu’il faut combiner plusieurs leviers agronomiques et techniques, voire aller jusqu’à la re-conception de systèmes. A l’image de l’animation du réseau DEPHY fermes, les Chambres d’agriculture sont déjà fortement engagées dans la recherche de solutions.

Par ailleurs, la réduction d’un intrant comme les produits phytopharmaceutiques, peut avoir des incidences sur l’utilisation d’autres intrants, comme l’azote, l’eau, le carburant via le travail du sol, etc. Ces incidences peuvent être des augmentations ou des réductions.

Si l’objectif global poursuivi est une agriculture moins consommatrice d’intrants en général – et de produits phytopharmaceutiques en particulier – il faut raisonner les intrants dans leur globalité, pour aboutir à des résultats pertinents sur les plans agronomiques et technico-économiques, et qui s’inscrivent dans la durée.