Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Daniel Fasquelle
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Michel Vialay

Le dernier alinéa de l’article L. 113‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par une phrase ainsi rédigée : « Aucun plafond de tirs de prélèvements et de défense ne peut être institué tant que la protection des troupeaux n’est pas acquise. »

Exposé sommaire

Nous ne pouvons pas voter une loi sur l’agriculture qui ne reviendrait pas sur les ravages du prédateur sur le pastoralisme. La situation déjà critique pourrait devenir catastrophique dans les semaines à venir sans prélèvements plus importants de loups. Espérer la protection des troupeaux est illusoire lorsqu’on empêche un nombre suffisant de tirs de prélèvements et de défense par l’instauration de plafonds.

Au-delà du cas des éleveurs d’ovins, de leur modèle économique et de toute la filière concernée, la présence de troupeaux dans nos montagnes permet l’entretien des espaces et leur viabilité. Ce sont donc toutes les filières agricoles de la montagne qui seraient impactées par la disparition des troupeaux de moutons et, par extension, des territoires dans leurs globalités.