Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 16 mai 2018)
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de monsieur le député Éric Bothorel
Photo de monsieur le député Anthony Cellier
Photo de madame la députée Annie Chapelier
Photo de madame la députée Françoise Dumas
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de madame la députée Cécile Muschotti
Photo de madame la députée Catherine Osson
Photo de madame la députée Michèle Peyron
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Benoit Potterie
Photo de madame la députée Mireille Robert
Photo de monsieur le député Stéphane Testé

À la première phrase de l’article L. 312‑17‑1 du code de l’éducation, après le mot « sexistes », sont insérés les mots : « , aux dangers du harcèlement sexuel à la gestion des contenus à caractère sexuel présents sur internet et les réseaux sociaux ».

Exposé sommaire

Internet et les réseaux sociaux sont omniprésents dans nos sociétés. Les enfants et les adolescents sont particulièrement exposés et vulnérables aux contenus inappropriés et nuisibles présents sur internet, à l’exploitation sexuelle en ligne et hors ligne et à une image des relations sexuelles déformée et biaisée.

Le phénomène du revenge porn (contenu sexuellement explicite qui est publiquement partagé sur Internet sans le consentement de la personne apparaissant dans le contenu) illustre parfaitement les dérives du harcèlement sexuel à l’heure de la communication numérique. Pour changer les comportements, il faut sensibiliser les enfants et les adolescents aux dangers du harcèlement numérique, qu’il soit sexuel ou moral.