Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de monsieur le député Robin Reda

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

La loi n°2013‑61 du 18 janvier 2013 crée un nouveau régime de réquisition qui permet à l’État, par l’intermédiaire de son représentant dans les départements, d’acquérir la jouissance de locaux vacants depuis au moins 12 mois et appartenant à une personne morale titulaire d’un droit réel ou propriétaire. A charge pour l’État de réaliser les travaux qui s’imposent et d’y loger des personnes en situation précaire. Une procédure complexe et très coûteuse pour l’État qui n’a, jusqu’à présent, donné lieu qu’à quelques dizaines de réquisitions, et ce malgré la pression très forte qui s’exerce sur les dispositifs d’hébergement d’urgence en raison, notamment, de la hausse du nombre de demandeurs d’asile. Avant d’étendre les délais de réquisition des locaux vacants, il est approprié de comprendre pourquoi l’État n’a pas fait de la réquisition un outil plus probant de sa politique en matière d’hébergement d’urgence.