Fabrication de la liasse
Rejeté
(vendredi 15 juin 2018)
Photo de monsieur le député Francis Vercamer
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Paul Christophe
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Laure de La Raudière
Photo de monsieur le député Stéphane Demilly
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Philippe Dunoyer
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Philippe Gomès
Photo de monsieur le député Meyer Habib
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de monsieur le député Maurice Leroy
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Franck Riester
Photo de madame la députée Nicole Sanquer
Photo de monsieur le député Philippe Vigier
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

Après l’alinéa 14, insérer l’alinéa suivant :

« Les référentiels de diplômes et titres à finalité professionnelle peuvent être adaptés en fonction des spécificités de chaque territoire régional, dans des conditions définies par décret en Conseil d’État. »

Exposé sommaire

L’article 14 du projet de loi vise à rénover le processus de certification professionnelle et confier la tenue du répertoire national de la certification professionnelle à France compétences. 

Selon l’étude d’impact, avec plus de 10 000 certifications actives enregistrées au 31 décembre 2017 au répertoire national des certifications professionnelles, le système français ne répondrait pas aux impératifs de lisibilité et de clarté dont ont besoin les employeurs pour déterminer la qualité des diplômes acquis dans le cadre de la formation continue. 

Si cette volonté de simplification est louable, elle ne prend pas en compte la nécessité d’adapter les formations à la spécificité des métiers dans certaines régions et bassins d’emploi. A titre d’exemple, la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur se singularise par l’existence d’une formation en hôtellerie spécialisée pour les yachts. 

Cet amendement vise donc à ouvrir la possibilité d’adapter les référentiels de diplômes et titres à finalité professionnelle en fonction des spécificités de chaque territoire régional.