Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Buon Tan
Photo de monsieur le député Damien Adam
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de monsieur le député Grégory Besson-Moreau
Photo de madame la députée Carole Grandjean
Photo de madame la députée Pascale Fontenel-Personne
Photo de monsieur le député Bruno Bonnell
Photo de monsieur le député Benoit Potterie
Photo de monsieur le député Rodrigue Kokouendo
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Frédérique Lardet
Photo de monsieur le député Denis Masséglia
Photo de madame la députée Monica Michel-Brassart
Photo de monsieur le député Sylvain Maillard
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de madame la députée Laurence Gayte
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de madame la députée Laurence Maillart-Méhaignerie
Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Jean-Charles Larsonneur
Photo de monsieur le député Jean-François Eliaou
Photo de monsieur le député Éric Girardin
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de monsieur le député Michel Delpon
Photo de monsieur le député Cédric Roussel
Photo de monsieur le député Pascal Bois
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de monsieur le député Frédéric Barbier
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de monsieur le député Belkhir Belhaddad
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Jacqueline Dubois
Photo de madame la députée Albane Gaillot

Rédiger ainsi l’alinéa 1 :

« Le 4° du II de l’article 50 de la loi n° 2003‑721 du 1er août 2003 pour l’initiative économique modifiée est abrogé. »

Exposé sommaire

Au sein du projet de loi PACTE l’article 7 vise à supprimer les parlementaires, un député et un sénateur, du Conseil d’administration de Business France. Si Business France est aujourd’hui la pierre angulaire des dispositifs de soutien au commerce extérieur, elle le sera d’autant plus demain, une fois la réforme mise en œuvre.

Il en va du pouvoir de contrôle et d’évaluation des politiques publiques. Rappelons-le, l’article 24 de la Constitution dispose des pouvoirs du Parlement :

- Élaborer et voter les lois ;

- Contrôler l’action du gouvernement ;

- Et évaluer les politiques publiques.

Il est donc essentiel que les parlementaires, qui votent notamment le budget de Business France, puissent exercer leurs missions telles qu’elles ont été définies par la Constitution. C’est d’ailleurs la volonté de la majorité de renforcer les pouvoirs et moyens de contrôle du Parlement sur les pouvoirs publics. Et pour ce faire, il est indispensable qu’ils soient parties prenantes des différentes agences de l’État, en l’occurrence du Conseil d’administration de Business France. 

L’objectif affiché d’améliorer l’efficacité du Conseil d’administration n’est pas entravé par la présence des parlementaires qui sont, au contraire, garants d’une continuité avec les choix faits en amont.