Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Daniel Fasquelle
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Didier Quentin
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Martial Saddier
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Rétablir l’article 8 bis A dans la rédaction suivante :

« La convention interprofessionnelle alimentaire territoriale lie une coopérative ou une organisation de producteurs, un ou plusieurs transformateurs et un distributeur.

« Conclue pour une durée minimum de trois ans, elle définit notamment :

« 1° Les prix de cession des produits objets de la convention ainsi que les modalités d’évolution de ces prix ;

« 2° Les délais de paiement ;

« 3° Les conditions de répartition de la valeur ajoutée de la production alimentaire au sein du territoire délimité par la convention ;

« 4° Les conditions environnementales, sanitaires et sociales de la production. »

Exposé sommaire

Cet amendement a pour objet de rétablir l’article 8 bis A. Ce dernier permettait une négociation tripartite, incluant le producteur, l’acheteur et le distributeur.

Une telle négociation permettrait plus de transparence, chaque partie ayant connaissance des attentes et des motivations des autres. Elle aurait pour conséquences d’éviter qu’un distributeur ne fasse pression sur un acheteur aux fins d’imposer un prix d’achat plus bas.

Une amélioration de la qualité des relations commerciales agricoles nécessite obligatoirement une plus grande écoute et une meilleure coopération entre tous les acteurs. C’est ce que permet cette mesure.