Fabrication de la liasse
Adopté
(mercredi 18 juillet 2018)
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Michèle Victory
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier

Supprimer les alinéas 14 et 15. 

Exposé sommaire

La droite sénatoriale oblige le demandeur d’emploi inscrit depuis plus de deux ans à Pôle emploi d’accepter toute offre d’emploi dont le salaire est supérieur à son revenu de remplacement. Aujourd’hui, le bénéfice de l’assurance chômage est limité à deux ans (trois ans pour les chômeurs seniors). Une durée qui peut augmenter si l’allocataire retravaille pendant sa période d’indemnisation. Une fois arrivé en fin de droits, le chômeur n’est plus couvert par le régime de l’Unédic et bascule vers une allocation financée par la solidarité nationale, l’allocation de solidarité spécifique qui elle n’est pas proportionnelle au salaire. Elle est de 500 € environ par mois. 

Un allocataire, qui touche donc 500 € par mois serait donc contraint d’accepter n’importe quel emploi, peu importe sa qualité, dont la rémunération est supérieure à 500 € par mois. En terme de trappe à pauvreté on ne fait pas mieux !