Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Cet amendement de suppression vise à préciser que, bien qu’ayant un caractère limité et bénéficiant d’un avis favorable du Conseil d’État, cette limitation du droit du sol pour Mayotte ne répondra en rien au problème de l’afflux des réfugiés venant des Comores. En effet, le droit de la nationalité ne constitue pas le problème principal au cœur de l’enjeu migratoire. La présente disposition ne règlera en rien le problème de l’afflux de réfugiés et les problèmes connexes, comme l’absence de maternité aux Comores. La mesure proposée est particulièrement inefficace au regard du but poursuivi tendant à limiter l’immigration clandestine à Mayotte.

Par ailleurs, rien ne justifie l’ajout de ce critère supplémentaire uniquement pour Mayotte qui crée une différence de traitement injustifiée avec les enfants nés dans d’autres départements français.