Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Compléter cet article par les mots :

« ainsi qu’un rapport sur la production de canne à sucre biologique en outre-mer et la possibilité de la mise en place de quotas obligatoires dans les usines sucrières. »

Exposé sommaire

La culture de la canne à sucre est une activité importante pour l’économie des territoires ultramarins. Le mode de production actuel reste calqué sur les modes de productions industriels : surexploitation des sols et usage de produits phytosanitaires sont majoritaires.

Pourtant, la canne à sucre peut faire l’objet d’une politique publique d’incitation à l’agriculture raisonnée et biologique.

A La Réunion, 83 tonnes de canne bio sont produites en ce moment. 73 tonnes de cette production partent dans les usines et sont mélangées avec de la canne non-bio. C’est une perte incroyable d’un produit qui peut être un nouveau modèle de production pour nos territoires.

L’État doit encourager la production bio de canne et être un élément moteur pour atteindre un volume de production suffisant pour permettre la transformation de la matière première sans devoir la mélanger avec une production non-bio.