Fabrication de la liasse

Amendement n°AC5

Déposé le vendredi 28 septembre 2018
Discuté
Rejeté
(mercredi 3 octobre 2018)
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Olivier Becht
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Pierre-Yves Bournazel
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de madame la députée Laure de La Raudière
Photo de monsieur le député Stéphane Demilly
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de monsieur le député Maurice Leroy
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de madame la députée Maina Sage
Photo de madame la députée Nicole Sanquer

Substituer à l’alinéa 1 les quatre alinéas suivants :

« L’article L. 351‑3 du code de l’éducation est ainsi modifié :

« 1° Le premier alinéa est ainsi rédigé :

« Les demandes formulées auprès des maisons départementales des personnes handicapées sont examinées dans un délai maximal de deux mois et permettent l’obtention d’une aide dans un délai d’un mois au maximum à partir du jour de la notification. » ;

« 2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : ».

 

Exposé sommaire

Le délai de 2 mois est satisfaisant. Un délai inférieur serait intenable pour les MDPH. En outre, partir du principe qu’un accompagnement doit être mis en œuvre dès le premier jour de scolarisation est louable, mais il ne tient pas compte des délais nécessaires à sa mise en place. Ainsi, une demande déposée le 15 août auprès d’une MDPH ne pourra raisonnablement permettre un accompagnement au premier jour de la rentrée scolaire. Il faut donc assouplir ce principe. De plus, on ne peut pas conserver la formulation « dans tous les cas » car cela sous-entend que le simple dépôt d’une demande permet une solution au premier jour de scolarisation. Or, ce n’est bien sûr pas la demande qui le permet mais la notification ensuite délivrée par la CDAPH.