Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc

À l’alinéa 9, substituer aux mots :

« cinq années civiles »

les mots : 

« sept années ».

II. – Compléter cet article par les deux alinéas suivants :

« XII. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

« XIII. – La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration de la dotation globale de fonctionnement et, corrélativement pour l’État, par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts. ».

Exposé sommaire

Aujourd’hui, le dépassement de certains seuils d’effectif au sein d’une entreprise impose de nombreuses obligations aux artisans et contraignent le développement de leurs entreprises.

Alléger et rationaliser les seuils d’effectif, donner des délais aux entreprises pour les mettre en œuvre et pour s’acquitter d’obligations nouvelles est un souci louable.

Toutefois, pour encore mieux permettre de protéger les entreprises qui voient leurs effectifs changer, il est souhaitable d’aller au-delà du moratoire introduit par le texte de cinq années civiles consécutives.

Porter ce délai à sept années permettrait de sécuriser davantage le développement des entreprises.