Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Daniel Fasquelle
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Jean-Charles Taugourdeau
Photo de monsieur le député Thibault Bazin

Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants :

« aa) Après le b) du I, il est inséré un c) ainsi rédigé :

« c) Activités impliquant la détention ou l’usage de foncier agricole. »

Exposé sommaire

Les investissements étrangers en France qui portent sur le foncier agricole sont source de tensions sur le territoire national.

Les investissements étrangers en matière de foncier agricole peuvent être protéiformes. Il peut s’agir d’achat de foncier agricole en direct, mais également de rachats de parts sociales de sociétés qui exploitent du foncier par le biais de baux ruraux.

Bien qu’ils représentent une part minoritaire des transactions en matière de foncier agricole les investissements étrangers ont toutefois un impact important sur notre territoire, notamment l’augmentation des prix du foncier. Aussi comment justifier de tels investissements alors que des jeunes agriculteurs engagés dans des parcours d’installation rencontrent des difficultés pour accéder au foncier ? Cela est d’autant plus regrettable lorsque ces investissements ne permettent pas de créer de l’emploi et de la valeur ajoutée sur nos territoires locaux.

Pour ces raisons, et bien d’autres encore, faire entrer les activités impliquant la détention ou l’usage de foncier agricole dans le régime des investissements étrangers s’avère plus de nécessaire.