Fabrication de la liasse
Rejeté
(jeudi 18 octobre 2018)
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

À l’alinéa 50, substituer au taux :

« 100 % »

le taux :

« 90 % ».

Exposé sommaire

Cet amendement porté par le groupe Socialistes et apparentés vise à engager un débat avec le gouvernement afin d’avoir une vision globale de l’impact économique de ces dispositifs et à comprendre pourquoi le gouvernement propose à l’alinéa 50 un abattement égal à 100 % de la base nette imposable à la cotisation foncière des entreprises, alors que les dispositifs existants portaient sur des abaissements d’assiette de 40 % et de 70 % en cas de régime majoré.

Pour rappel, l’étude d’impact transmise par le gouvernement indique que cette création de nouvelles zones franches va coûter au budget de l’État 10 millions d’euros en 2019 puis 124 millions d’euros en année pleine (c’est-à-dire à partir de 2020).

En revanche, l’étude d’impact ne présente aucune évaluation globale, ce qui ne permet pas d’avoir une appréciation globale.