Fabrication de la liasse
Retiré
(vendredi 2 novembre 2018)
Photo de monsieur le député Antoine Herth
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de monsieur le député Pierre-Yves Bournazel
Photo de monsieur le député Paul Christophe
Photo de madame la députée Laure de La Raudière
Photo de monsieur le député Stéphane Demilly
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de madame la députée Agnès Firmin Le Bodo
Photo de monsieur le député Meyer Habib
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Vincent Ledoux
Photo de monsieur le député Maurice Leroy
Photo de madame la députée Lise Magnier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de madame la députée Maina Sage
Photo de madame la députée Nicole Sanquer
Photo de monsieur le député Francis Vercamer
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :

(en euros)
Programmes+-
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture100 000 0000
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation00
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture0100 000 000
Dont titre 20100 000 000
TOTAUX100 000 000100 000 000
SOLDE0
Exposé sommaire

En 2018, le gouvernement avait doté la mission d’une provision pour risques et aléas, destinée à couvrir d’éventuelles crises économiques, sanitaires ou climatiques. Cette provision était de 300 millions d’euros.

Pour 2019, elle sera de 200 millions d’euros. Ce montant prend en compte l’exécution prévue sur l’année en cours.

Cependant, en raison de l’épisode de sécheresse que connait actuellement le pays, il serait utile de prévoir un relèvement de cette enveloppe à 300 millions.


L’amendement propose une augmentation des crédits de l’action n°27 du programme 149 « Moyens de mise en oeuvre des politiques publiques », transférés vers les crédits titre 2 (dépenses de personnel) des actions n°01 et 04 du programme 215 « Moyens de l’administration centrale » et « Moyens communs ». Il ne s’agit pas de diminuer réellement ces crédits, mais de se conformer aux dispositions de la loi organique relative aux lois de finances.