Fabrication de la liasse
Rejeté
(jeudi 8 novembre 2018)
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député David Lorion
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Patrice Verchère
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Guy Teissier

Après l’alinéa 3, insérer l’alinéa suivant :

« 1° bis À la seconde phrase du quatorzième alinéa de l’article L. 2334‑21 du code général des collectivités territoriales, après l’année : « 2018 », sont insérés les mots : « et 2019 ». »

Exposé sommaire

Faute de réforme de la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF), cet amendement vise à maintenir en 2019 une garantie de sortie égale à celle perçue en 2017 et 2018 pour les communes qui perdent l’éligibilité de la fraction bourg-centre de la dotation de solidarité rurale suite au plafonnement de leur population créé par la loi de finances pour 2017.

Pour mémoire, ce plafonnement a été mis en place sans simulation et sans concertation avec les communes concernées ou les associations d’élus. Il apparaît particulièrement arbitraire.

Malgré une population permanente inférieure à 1500 habitants, ces communes supportent en effet des charges de centralité importantes en raison notamment de leur forte attractivité touristique. La perte de leur fraction bourg-centre menace aujourd’hui la pérennité des services publics de proximité qu’elles doivent assurer.

Par ailleurs, ce plafonnement a engendré un effet de seuil extrêmement brutal, excluant une dizaine de communes du dispositif, dont plus de la moitié est située en zone de montagne.

Cet amendement est soutenu par les parlementaires de la montagne ainsi que des autres territoires touristiques.