Fabrication de la liasse
Rejeté
(samedi 27 octobre 2018)
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Michèle Victory

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

Cet article prévoit la sous-indexation de la revalorisation des prestations sociales.

Ainsi, au cours des deux prochaines années, la revalorisation des prestations sociales ne sera que de 0,3 % par an, c’est-à-dire un pourcentage inférieur à l’inflation (prévue à 1,6 % selon l’INSEE pour 2018).

Or, il est prévu par l’article L. 161‑25 du code de la sécurité sociale que la revalorisation des prestations sociales est indexée sur l’inflation. Cela est justement prévu pour éviter une perte de pouvoir d’achat des bénéficiaires des prestations sociales.

En l’espèce, cet article va entrainer une nouvelle baisse du pouvoir d’achat pour les ménages français modestes.

Cette mesure est, en outre, en contradiction totale avec le retour à l’excédent de la branche famille (+1,2 milliards d’€ en 2019) c’est pourquoi le groupe socialiste propose sa suppression.