Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 24 octobre 2018)
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Franck Marlin
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Martial Saddier
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Jean-Jacques Ferrara
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de monsieur le député Maxime Minot

I. – À la fin de l’alinéa 27, substituer aux mots :

« 1er septembre 2019 »

les mots :

« 1er janvier 2019, avec effet rétroactif pour les rémunérations perçues dès le 1er juillet 2018. »

II. – Compléter cet article par les deux alinéas suivants :

« V. - La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la majoration des droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts. ».

Exposé sommaire

Cet article vise « à renforcer le pouvoir d’achat des actifs et à améliorer l’attractivité du travail ». Aussi, il est présenté comme l’une des principales avancées de ce projet de loi de finances 2019, annoncé depuis plusieurs mois par le président de la République comme par le gouvernement. Dès lors, pour une mesure aussi symbolique qu’attendue, pourquoi attendre l’automne pour pouvoir l’appliquer ? La situation urgente, pour de nombreux ménages, ne justifie-t-elle pas d’avancer la date ?

C’est l’objet de cet amendement, qui vise à avancer la date de mise en œuvre de l’exonération des cotisations salariales sur les heures supplémentaires, pour qu’elle puisse bénéficier aux travailleurs dès le 1er janvier 2019, avec effet rétroactif pour les rémunérations perçues dès le milieu de l’année 2018.