Fabrication de la liasse
Rejeté
(vendredi 26 octobre 2018)
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Éric Straumann
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Jean-Jacques Ferrara
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Patrice Verchère
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Rémi Delatte
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin

Après le mot :

« publique »,

rédiger ainsi la fin de l’alinéa 65 :

« sont définies par décret en Conseil d’État à partir du 1er janvier 2020, après concertation avec les professionnels de santé concernés. »

 

Exposé sommaire

Cet amendement vise à donner du temps à la concertation pour empêcher un déremboursement précipité et mal évalué des médicaments homéopathiques.

L’homéopathie fait partie des pratiques courantes de soins adoptées par les Français. Un tiers des médecins généralistes, 78 % des sages-femmes et 100 % des pharmaciens ont intégrés l’homéopathie à leur pratique.

De nombreuses études ont démontrés que les patients pris en charge par des médecins homéopathes on un bénéfice clinique équivalent qu’avec une prescription de médicaments « classiques »

Aussi, il n’apparait pas impérieux d’agir dans la précipitation, alors même que l’homéopathie ne représente que 0,29 % des remboursements de médicaments supportés par l’assurance maladie.