Fabrication de la liasse

Amendement n°CL507

Déposé le vendredi 2 novembre 2018
Discuté
Photo de monsieur le député Jean-François Cesarini
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de madame la députée Béatrice Piron
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Fabienne Colboc
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de monsieur le député Fabien Matras
Photo de madame la députée Danièle Hérin
Photo de monsieur le député Grégory Besson-Moreau
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de monsieur le député Joël Giraud
Photo de monsieur le député Grégory Galbadon
Photo de madame la députée Sereine Mauborgne
Photo de monsieur le député Jacques Krabal
Photo de madame la députée Carole Grandjean
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Christophe Blanchet
Photo de monsieur le député Éric Alauzet
Photo de madame la députée Fadila Khattabi
Photo de madame la députée Florence Granjus
Photo de madame la députée Martine Wonner
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de madame la députée Typhanie Degois
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de madame la députée Anne-Laure Cattelot
Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi
Photo de monsieur le député Olivier Gaillard
Photo de madame la députée Nicole Trisse
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de madame la députée Barbara Pompili

L’article 41‑5 du code de procédure pénale est ainsi modifié :

1° Au premier alinéa, après les mots : « autoriser la destruction », sont insérés les mots : « ou le recyclage, après suppression de toutes données le cas échéant, » ;

2° Au quatrième alinéa, après les mots : « peut ordonner la destruction », sont insérés les mots : « ou le recyclage, après suppression de toutes données le cas échéant, ».

Exposé sommaire

Certains produits ou biens saisis par les forces de l'ordre sont au cours de l'enquête détruits alors qu'ils pouvaient très bien être recyclés. C'est le cas, par exemple, des téléphones portables saisis dans les prisons qui sont détruits au lieu d'être recyclés. En formatant leur mémoire, ces téléphones peuvent être revendus par l'administration à des sociétés de recyclage sans aucun risque.