Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Jean-Louis Thiériot
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson

Compléter l’alinéa 5 par la phrase suivante :

« Les usagers présentant un profil problématique peuvent être déférés devant le tribunal d’instance plutôt que de se voir notifier une amende contraventionnelle, soin étant laissé au tribunal de prononcer des peines complémentaires. »

Exposé sommaire

Face aux usagers les plus problématiques, les forces de l’ordre pourraient ne pas appliquer la procédure d’amende forfaitaire contraventionnelle et la personne interpellée serait déférée devant le tribunal d’Instance qui pourrait prononcer des peines complémentaires.

Le tribunal pourrait être éclairé sur la situation sanitaire et sociale de la personne par une commission d’orientation à l’instar du dispositif qui a été mis en place au Portugal. Cette commission émettrait seulement un avis non contraignant. Elle serait composée de médecins, d’addictologues, de membres du centre d’information et de documentation jeunesse local etc. et permettrait un rapprochement de ces acteurs et des forces de l’ordre