Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de madame la députée Marie-Pierre Rixain
Photo de madame la députée Laëtitia Romeiro Dias
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Erwan Balanant
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Nadia Hai
Photo de madame la députée Cécile Muschotti
Photo de monsieur le député Mickaël Nogal
Photo de monsieur le député Guillaume Chiche
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de madame la députée Sophie Auconie
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de madame la députée Isabelle Florennes

Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant :

« Lorsqu’une plainte adressée par voie électronique concerne des violences sexistes ou sexuelles, la victime doit être reçue sur rendez-vous par un enquêteur spécialement formé sur ces violences et leurs conséquences. »

Exposé sommaire

Issu de la recommandation n° 26 du rapport de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, cet amendement vise à prévoir qu’en cas de plainte en ligne pour des faits de violences sexistes ou sexuelles, la victime est reçue sur rendez-vous par un enquêteur spécialement formé sur les problématiques de ce type de violences et sur leurs conséquences pour les victimes.

Une telle procédure permettra sans aucun doute de faciliter le dépôt de plainte de victimes qui n’osent pas toujours franchir la porte d’un commissariat ou d’une gendarmerie pour dénoncer des faits qui touchent directement à leur intimité. Elle garantira en outre que ces victimes bénéficieront d’une prise en charge spécifique et adaptée.